Je peux toucher ses traits
Son corps si parfait
Si chaud à mes mains
Mes baisers malins
Parcourant son corps
J’y croyais alors
Je ressens sa chaleur
Sa peau si douce
Mes mains sous sa blouse
Je sentais mon cœur
Battre près du sien
Je me cachais derrière ces câlins.
Je rentrais enfin en elle
Dieux, qu’elle était belle
Mais ce n’était qu’un rêve
Dû à cette fièvre
Il était temps de se lever
De se réveiller et travailler
Vivre la vie réelle
Bien qu’elle ne soit pas si belle
Dés ce soir, dans mon lit
Je m’endormirais à jamais
En espérant qu’à nouveau, je la rêverais
Sans plus me réveiller de la nuit
- 17 Novembre 2005