C’était une nuit de pleine lune
Une nuit de bonne fortune
Dans les bois, apeurés
Nous nous sommes enlacés
Aucune lumière n’infiltrait
Le feuillage des arbres et haies
Je t’embrassais tendrement
Dans tes bras, je m’endormis lentement
Puis le réveil vint
C’était déjà le matin
Une nuit trop brève
Dans le monde du rêve
Une nuit trop brève
Suspendu à tes lèvres.
- 3 octobre 2006